LES LECTURES DE GANGOUEUS – Invité : SAMI TCHAK, «La Couleur de l’écrivain »

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SAMI TCHAK  La Couleur de l’écrivain 

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Résumé :

SAMI TCHAK La Couleur de l’écrivain Tout est question de couleur, mais plutôt que celle de la peau, ce sont celles des sensations, des sentiments, des peurs, des pensées, des rencontres, des atmosphères, des rêves, des imaginaires et des fantasmes qui animent Sami Tchak.

Comme autant de pépites chatoyantes, les récits qu’offre ce grand essayiste et romancier togolais, dans cette comédie du monde, transporte le lecteur dans des univers inattendus.
Des récits comme autant de chemins réjouissants tracés dans une géographie qui mêlent villes, personnages, auteurs : Beyrouth, Alger, N’Djamena, Harlem, Œdipe, Dostoievski, Julien Gracq, Mongo Beti, Ananda Devi…
Délicieux moments de lecture qui bousculent les habitudes autour de grandes questions traitées avec humour et perspicacité. Et l’auteur de déclarer que « nous usons de la géographie
pour donner des ailes à nos rêves. » À n’en pas douter, les voyages sont au rendez-vous de La couleur de l’écrivain, signant l’acte d’un citoyen du monde en quête de dignité pour tous.

Biographie de SAMI TCHAK  La Couleur de l’écrivain

Sami Tchak, pseudonyme de Sadamba TCHA-KOURA, écrivain, est né au Togo en 1960. Après une licence de philosophie obtenue à l’Université de Lomé, capitale de son pays, en 1983, il enseigne dans un lycée pendant trois ans. Il arrive en France en 1986 pour des études en sociologie. Il obtient son doctorat à la Sorbonne (Paris V) en cette matière en 1993.
C’est dans le cadre de ses activités de sociologue que le hasard le conduira à Cuba en 1996 pour sept mois de recherches sur la prostitution. Il écrira La prostitution à Cuba. Communisme, ruses et débrouilles (préfacé par l’écrivain cubain Eduardo Manet). La découverte du Mexique, puis de la Colombie par la suite vont influencer ses choix littéraires. Ces espaces et les grands écrivains qu’ils ont donnés au monde lui ouvrent de nouveaux horizons.

Depuis son roman Hermina en 2003, chez Gallimard, tous ses livres se passent dans une Amérique latine « imprécise » qui fait aussi beaucoup penser à l’Afrique.

En 2004, il a gagné le Grand prix littéraire d’Afrique noire, pour l’ensemble de ses oeuvres. Ses romans ont été traduits en italien, espagnol et allemand. Outre des articles publiés dans des encyclopédies, des revues scientifiques, et des nouvelles dans des recueils collectifs, il a publié de nombreux romans et essais.

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