Dans le cadre de la première édition de la journée littéraire Rive Noire Littérature, une rencontre exceptionnelle s’est tenue le samedi 28 juin dernier au Centre Oudiné (Paris 13e), autour du thème : Raconter le Cameroun – regards croisés.
Animée par le critique littéraire Reassi Ouabonzi, la conversation réunissait deux voix singulières de la littérature contemporaine : Hemley Boum, autrice camerounaise saluée pour son roman Le Rêve du pêcheur (Gallimard, 2024), et Anne-Sophie Stefanini, écrivaine et éditrice, dont l’œuvre interroge aussi les mémoires croisées et les héritages postcoloniaux.
Durant cette rencontre riche et sensible, les deux invitées ont partagé leurs visions du Cameroun à travers leurs écritures respectives. Entre mémoire familiale, transmission, Histoire nationale et regard intime, elles ont échangé sur la manière dont la littérature peut dire les blessures, les espoirs et les complexités d’un pays en mouvement.
Les échanges avec le public, venu nombreux, ont permis d’approfondir les thématiques abordées et de souligner l’importance de tels dialogues dans la fabrique d’une mémoire littéraire africaine plurielle et ouverte.
Cette rencontre marquait un temps fort de Rive Noire Littérature, événement annuel dédié aux littératures africaines et afro-descendantes, porté par l’association SUD PLATEAU.
Animée par le critique littéraire Reassi Ouabonzi, la conversation réunissait deux voix singulières de la littérature contemporaine : Hemley Boum, autrice camerounaise saluée pour son roman Le Rêve du pêcheur (Gallimard, 2024), et Anne-Sophie Stefanini, écrivaine et éditrice, dont l’œuvre interroge aussi les mémoires croisées et les héritages postcoloniaux.
Les échanges avec le public, venu nombreux, ont permis d’approfondir les thématiques abordées et de souligner l’importance de tels dialogues dans la fabrique d’une mémoire littéraire africaine plurielle et ouverte.
