Une autofiction donnant la parole à une femme expatriée vivant entre deux déménagements dans ce monde à part des Français de l’étranger. On estime à 3,5 millions le nombre de Français vivant à l’étranger. Entre les résidents de long terme et les expatriés envoyés par leur entreprise qui ne restent que 3-4 ans, ce sont donc aussi des millions de femmes dont on parle peu. Pourtant, la plupart ont des vies à part, souvent obligées de suivre leur mari et d’abandonner amis de France et carrière pour vivre dans une bulle dorée. Sylvie Aviyi, qui a vécu à Séoul, à Varsovie et à Budapest comme expatriée, a transformé son expérience personnelle en un récit romancé où se succèdent une galerie de portraits féminins. Elle donne enfin une voix à ces femmes dont les expériences variées sont méconnues malgré leur richesse.
BIOGRAPHIE :
Son expérience acquise à l’étranger a été une véritable source d’inspiration pour laisser s’exprimer sa plume. Son premier roman « I’m An Expat and so What ?! » écrit en Anglais, langue que Sully maîtrise à la perfection, raconte le vécu des femmes expatriées. La dernière œuvre en date, celle que nous avons décidé de vous présenter, s’intitule « Un prisonnier sans étoile ». Ce roman pose les questions de la place de l’homme noir confronté aux questions de l’esclavage, de la ségrégation et du nazisme. Cet ouvrage est issu de plusieurs sources d’inspiration et notamment celle de ses nombreuses visites à Ouidah (Bénin) et à Anécho (Togo) où se trouvent des sites sur l’esclavage et à Auschwitz (Pologne) mais aussi, l’un des camps de concentration nazie. Pour information, Sully QUAY a vécu à Cracovie (Pologne) et y retourne régulièrement. L’histoire de Sylvestre, le personnage principal a été énormément documentée par des lectures de romans, de magazines, d’articles, visionnages de reportages et de sorties en relation avec les questions de nazisme et de camp de concentration.
Une autofiction donnant la parole à une femme expatriée vivant entre deux déménagements dans ce monde à part des Français de l’étranger. On estime à 3,5 millions le nombre de Français vivant à l’étranger. Entre les résidents de long terme et les expatriés envoyés par leur entreprise qui ne restent que 3-4 ans, ce sont donc aussi des millions de femmes dont on parle peu. Pourtant, la plupart ont des vies à part, souvent obligées de suivre leur mari et d’abandonner amis de France et carrière pour vivre dans une bulle dorée. Sylvie Aviyi, qui a vécu à Séoul, à Varsovie et à Budapest comme expatriée, a transformé son expérience personnelle en un récit romancé où se succèdent une galerie de portraits féminins. Elle donne enfin une voix à ces femmes dont les expériences variées sont méconnues malgré leur richesse.
Son expérience acquise à l’étranger a été une véritable source d’inspiration pour laisser s’exprimer sa plume. Son premier roman « I’m An Expat and so What ?! » écrit en Anglais, langue que Sully maîtrise à la perfection, raconte le vécu des femmes expatriées.
