Pour fuir un passé marqué par la souffrance et le rejet, le jeune Kisito débarque dans le marché de Dantokpa. Il rencontre Sonagnon, un garçon au destin brisé, App, un vieil homme hanté par ses souvenirs, et Petit-Père, un enfant précoce et attachant. Ensemble, ils vont lutter pour survivre… Entre coups reçus et mains tendues, Nous étions frères nous plonge dans l’enfance bafouée : un univers brutal qui façonne les destinées, où la fraternité devient le seul rempart contre l’indifférence.
BIOGRAPHIE :
Ludovic Landry Sossoumihen est un écrivain franco-béninois dont le parcours singulier tisse un lien étroit entre engagement humaniste, pratique médicale et création littéraire. Médecin urgentiste de formation, il exerce en France tout en poursuivant des travaux de recherche en économie et politique de santé. Il est également diplômé en management de la santé, une spécialité qui l’amène à penser la médecine au-delà du soin individuel, dans une perspective systémique, éthique et solidaire.
Passionné de philosophie, notamment des pensées africaines telles que l’Ubuntu (« Je suis parce que tu es »), il développe une vision profondément relationnelle de l’humain, qu’il transpose avec sensibilité dans ses écrits. Son approche littéraire se veut ancrée dans la réalité sociale contemporaine, avec un regard lucide, mais jamais cynique, sur les inégalités, les déracinements, et les fractures intimes de notre époque.
En 2016, il publie son premier ouvrage, Racines d’amertume, un récit à la frontière entre le témoignage et la fiction, dans lequel il aborde les blessures invisibles laissées par l’exil, le choc culturel, et les tensions identitaires. À travers le regard d’un jeune médecin africain confronté aux réalités de l’hôpital occidental, ce texte interroge le sens de l’engagement, du soin, et de l’humanité partagée.
En 2025, il fait paraître son second roman, Nous étions frères, aux éditions Les Lettres Mouchetées. Ce texte poignant retrace l’histoire de deux jeunes garçons livrés à eux-mêmes, confrontés à la violence du monde dès l’enfance. Leur survie tient à un fil : celui d’une fraternité instable mais vitale. Entre la rue, les trafics, les blessures du passé et l’absence d’adultes protecteurs, l’auteur peint avec justesse et émotion les drames silencieux que vivent tant d’enfants abandonnés à l’indifférence des adultes et des institutions. Ce roman, à la fois dur et lumineux, est un cri d’alerte autant qu’un hommage à la résilience.
Dans tous ses textes, Ludovic Sossoumihen place l’humain au centre. Il écrit pour dire ce que les regards détournent, pour incarner des voix que l’on entend rarement, pour redonner une dignité littéraire aux oubliés, aux exclus, aux êtres cabossés. Sa plume, sobre et sincère, puise autant dans son expérience professionnelle que dans une profonde quête de sens et de justice.
En parallèle de ses activités médicales et littéraires, il intervient régulièrement dans des conférences, salons du livre et rencontres autour des enjeux de santé, de migration et de littérature engagée. Il incarne une génération d’auteurs africains contemporains, ancrés dans la réalité globale, porteurs d’un regard critique mais empreint d’espoir.
Pour fuir un passé marqué par la souffrance et le rejet, le jeune Kisito débarque dans le marché de Dantokpa. Il rencontre Sonagnon, un garçon au destin brisé, App, un vieil homme hanté par ses souvenirs, et Petit-Père, un enfant précoce et attachant. Ensemble, ils vont lutter pour survivre… Entre coups reçus et mains tendues, Nous étions frères nous plonge dans l’enfance bafouée : un univers brutal qui façonne les destinées, où la fraternité devient le seul rempart contre l’indifférence.
Ludovic Landry Sossoumihen est un écrivain franco-béninois dont le parcours singulier tisse un lien étroit entre engagement humaniste, pratique médicale et création littéraire. Médecin urgentiste de formation, il exerce en France tout en poursuivant des travaux de recherche en économie et politique de santé. Il est également diplômé en management de la santé, une spécialité qui l’amène à penser la médecine au-delà du soin individuel, dans une perspective systémique, éthique et solidaire.
