PALABRES AUTOUR DES ARTS      
 Ces romans ont en commun non seulement l’origine africaine de leurs auteurs, mais aussi leur mode d’édition. Des autoproductions. Et pour cause : cette rencontre anniversaire a pour thème « Je décide de m’autoéditer ». Et la troisième partie de la rencontre communément appelée « Piment dans la bouche des palabreurs » a permis au public et aux chroniqueurs de débattre autour de la question « L’autoédition, une littérature marginale ? »
Ces romans ont en commun non seulement l’origine africaine de leurs auteurs, mais aussi leur mode d’édition. Des autoproductions. Et pour cause : cette rencontre anniversaire a pour thème « Je décide de m’autoéditer ». Et la troisième partie de la rencontre communément appelée « Piment dans la bouche des palabreurs » a permis au public et aux chroniqueurs de débattre autour de la question « L’autoédition, une littérature marginale ? »
Mais avant ces échanges parfois animés mais toujours cordiaux autour de l’autoédition, le public a eu droit à la présentation du recueil de nouvelles « Sous mes paupières, Extérieur vies » écrit par les membres du collectif Palabres autour des arts, et édité par L’Harmattan.
Palabres autours des arts est une rencontre littéraire initiée par Joss Doszen (écrivain). Elle a pour ambition de réunir, une fois par mois, autours des romans et des auteurs d’origine africaine, des passionnés « non professionnels » des littératures africaines. Le terme « non professionnels » ici est de rigueur. Car même si, parmi ses chroniqueurs on compte des écrivains, des universitaires et des critiques littéraires, Les Palabres autours des arts revendiquent une façon « non savante » de parler de littérature. Le but étant de rendre ces rencontres et la pratique des livres accessibles à tous. Pari tenu, si on en juge au nombre de plus en plus croissant des participants à ces rencontres.
 
            






































